Repas avec l'Ambassadeur Oürbachk

Oürbachk, marche les mains dans les poches, un brin ronchon, mais complètement calme. Il était seul, ses hommes étaient rester au campement et on les entendaient chanter dans le lointain.

bande de braillards pensa-t-il.

Il entra dans la salle où les maitres de maison étaient.

Mon lieutenant, je suis ravis de vous revoir ! on va pouvoir parler tranquilement sans qu'après j'ai les officiers qui me gueule dessus
part dans un grand rire.

Kratos regarda amusé Ourbachk...il le connaissait bien enfin le pensait-il...

Et bien mon cher, ce n'est plus la peine de m'apelé mon lieutenant je ne le suis plus depuis une semaine...

Allez asseyez vous et prenez donc un verre...

Il fit signe a l'un des serviteur afin que celui ci remplisse le verre de l'invité...

Je n'ai pas pû vous acceuillir a votre arriver j'en suis bien navré...

Alors comment ce passe votre sejour dans notre belle region?

Il esquisa un sourire tout en fesant signe aux serviteur d'amener le plat principal pour que le repas puisse débuter...

he bien ma foi mon lieutenant... ha oui désolé pardon, mais mes anciens supérieurs le reste pour moi. le jour ou j'aurait des galons ce sera pas pratique mais bon !
donc je disais .. ha oui ! he bien ma fois mon lieutenant, malgrés que je commence a m'énervé car j'attend l'ouverture de cette fou.... ambassade et que ça ne viens pas, tous ce passe bien.

Vous voyez mon lieutenant, je suis comme les chats ! je retombe toujours sur mes pattes. après que Birkut m'ai viré, je suis partis en Baden sans demander ma solde, et j'ai eu tord . comme je l'avais annoncé, je suis aller en Baden. He c'est là que je me suis reconvertis !

Oürbachk commençais a oublié son ambassade. Le repas commençait, il parlait tranquilement avec son ancien lieutenant et sa femme. Mais le toc-toc a la porte le surpris et il eu comme une intuition. et pas louper, l'homme qui entra était un des hommes de sa garde. L'homme s'incline, entre au petit trop dans la salle a manger une missive à la main. Il donne la lettre a l'ambassadeur qui la lit:
(traduit de l'allemand )

Oürbachk-c'est vrai ?

l'homme- Ja sir.

Ourch- bon, cette fois s'en est trop ! ils commencenbt a m'agacer a la fin! je pense que je vais vraiment m'énervé si c'est ce qu'il veulent. Préparez vos armures, je crois qu'en grande tenue nous ne faison pas d'effet. Nous partons dès le repas finit.

l'homme- Je dois dire a Thomé d'aller voir le comte sir ? Il a commencer a seller son cheval je crois. il n'attend que votre ordre.

Oürbachk réfléchit puis finalement lâche:

"qu'il se dépèche et qu'il dise a Belzé de rester en Baden. Je pense que je vais acheter une maison et en faire mon ambassade. je la déclarerais officielement si le chambellant n'ouvre pas celle que l'on demande mais qu'il me reconnait ambassadeur"

L'homme s'incline et part d'un pas rapide. il salut les maitres de maison, ferme la porte et part en courant. Dix minutes plus tard, on entend un bruit de cavalier au galop au-dehors.

Excuser cette grosse coupure Dame Lancelote, mon lieutenant, mais je viens d'aprendre que le chambellant avait ouvert touts les ambasades en attente ormis la mienne. Je donc décidé d'informer le Duc Belzébar de ce qui se passe ici.
Mais je vous en pries, continuons comme si de rien était !

Une heure après l'interuption momentanée du repas, un autre homme.fit sont aparition dans la salle a manger, pendant le dessert. il portait lui aussi une petite lettre. l'ambassadeur se renfrogna de plus belle, ignorant le visage de l'homme. Oürbachk lut la lettre a voix haute pour Kratos et Lancelote:

Chateau d'Orléans le mercredi 15 mars 1454,
à Sir Oürbachk ambassadeur du Baden:

Sir, nous venons de vous ouvrir les portes de votre ambassade a Gien. Deux de vos hommes ont déjà investient les lieux.

En espèrant que vous nous pardonnerez votre retard, le chambellant.
Oürbachk regarda l'homme qui lui avait donné la lettre et s'aperçus que c'était Thomé, qu'il croyait parti pour le Baden. Il lui dit deux trois mots et se leva alors que son garde sortait.

Veuillez m'excusez mon lieutenant, dame lancelote, mais le devoir m'appel. Le duc Belzébar III attend depuis trop longtemps que je fasse passer l'accord Judiciaire, que maintenant je ne peut plus rester. Passer donc me vior a l'ambassade, au pire je viendrais ici de temps en temps. Car je suis bein ici et puis pour deux autres raisons. La politique, et l'autre que j'adore le lieutenant !

Sur ces paroles, Oürbachk se lève, s'incline devant ceux qui l'ont accueilis et offert un bon repas, puis pose sa serviette et sort.

Je vous en pries mon ami. Faites, je ne sais que trop bien ce que sont les obligation du a nos charges.

Lancelote fit signe a deux vallets de suivre L'Ambassadeur, et elle leur ordonna de préparer des provisions pour la route qua l'Abassadeur allez faire.